Un séjour inoubliable au Maroc, 1ère partie
Le Maroc a été mon premier périple hors d’Europe et un incroyable électro-choc dans ma petite vie de rat de bibliothèque. Enfin je quittais l’Europe. Enfin je décollais de ce pays riche d’où je suis née. Enfin je me confrontais à une autre culture.
Avant même d’y aller, je savais que ça me plairait. Mais j’étais loin de me douter que ça serait bien plus que ça.
Une chance inouïe
Grâce à la nièce de la sœur du copain de ma tante… Non je plaisante, c’est plus simple en vérité ! Des amis de la famille partaient faire un voyage ornithologique dans un lieu qu’ils connaissaient bien et j’ai sauté sur l’occasion pour me joindre à eux. J’avais de l’intérêt pour les oiseaux et fais quelques sorties instructives à leur contact. Le Maroc était donc un moyen de découvrir d’autres espèces en plus de l’intérêt culturel de ce voyage.
Il faut dire que j’étais entre de bonnes mains. Je n’ai eu aucune précautions particulières à prendre, aucune réservations à gérer, je n’avais aucun stress et je me laissais porter, du haut de mes 21 ans, par l’appel des « muezzin ». Il s’agit des hommes qui chantent l’appel à la prière en haut des minarets. Ce son puissant et mystérieux, je l’ai imaginé cent fois avant de partir. Je songeais aux souks dont on m’avait parlé, je rêvais du désert, celui de sable qu’on appelle un « reg ».
Nous sommes partis en mars, laissant derrière nous la grisaille de la France et avons mis le cap pour Agadir. C’était ma première fois en avion et je confirme, je n’aime pas ça, mais alors vraiment pas ! Le décollage et l’atterrissage ont été pour moi les passages les plus stressants et mes guides ont plusieurs fois coulé leur regard dans ma direction, la mine amusée.
Des paysages variés
Le premier choc a été corporel. Dès que j’ai franchi le seuil de la porte de l’avion, un souffle chaud m’a enveloppé. La température n’était pas extrême comme nos pires canicules mais tout de même conséquente.
Sachant cela avant mon départ, il était prévu de ne mettre aucun centimètre carré de peau au soleil. Ça n’est pas pour rien que les habitants du désert s’habillent de chèches et de djellabas. La meilleure sécurité pour tous est de se couvrir : chemise, chapeau, pantalon léger. Ce conseil vaut pour tout être humain, pas uniquement pour les peaux blanches.
Agadir bénéficie de sa position privilégiée sur la côte atlantique pour les plages. Néanmoins, nous avons attendus de sortir de l’agglomération pour observer les oiseaux du littoral, notamment les spatules, ces drôles d’oiseaux au bec allongé en forme de cuillère.
C’est en prenant le chemin du sud que nous sommes entrés un peu plus dans les terres. Le paysage change donc progressivement pour laisser place au désert. Ici, aucune herbe ne pousse à cause du sable, il n’y a guère que les arbres tel que l’arganier qui arrivent à se faire une place et à supporter l’assaut du vent chaud.
Itinéraire hors des sentiers battus
Le voyage
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